"I hope, and have ground to believe, that you, Count Finck, will not need to make use of this Instruction: but in case of misfortune, I authorize you to employ it; and, as mark that it is, after a mature and sound deliberation, my firm and constant will, Isign it with my Hand and confirm it with my Seal."Or, in Friedrich's own spelling &c., so far as our possibilities permit:--"INSTRUCTION SECRETE POUR LE CONTE DE FINE.
"BERLIN, ce 10 de Janv. 1757.
"Dans La Situation Critique ou se trouvent nos affaires je dois Vous donner mes Ordres pour que dans tout Les Cas Malheureux qui sont dans la possibilite des Evenemens vous Soyez autorisse aux partis quil faut prendre. 1)[Yes; but there follows no "2)"anywhere, such the haste!] Sil arivoit (de quoi le Ciel preserve)qu'une de mes Armees en Saxse fut totallement battue, oubien que Les francais chassassent Les Hanovryeins de Leur pais et si etablissent et nous menassassent d'un Invassion dans la Vieille Marche, ou que les Russes penetrassent par La Nouvelle Marche, il faut Sauver la famille Royale, les principeaux Dicasteres les Ministres et le Directoire. Si nous somes battus en Saxse du Cote de leipssic Le Lieu Le plus propre pour Le transport de La famille et du Tressor est a Custrin, il faut en ce Cas que la famille Royalle et touts cidesus nomez aillent esCortez de toute La Guarnisson a Custrin. Si les Russes entroient par la Nouvele Marche ou quil nous arivat un Malheur en Lusace, il faudroit que tout Se transportat a Magdebourg, enfin Le Derni& refuge est a Stetein, mais il ne hut y all&r qu'a La Derniere exstremite La Guarnisson la famille Royalle et le Tressort sent Inseparables et vont toujours ensemble il faut y ajouter les Diamans de la Couronne, et L'argenterie des Grands Apartements qui en pareil cas ainsi que la Veselle d'or doit etre incontinant Monoyee. Sil arivoit que je fus tue, il faut que Les affaires Continuent Leur train sans la Moindre allteration et Sans qu'on s'apersoive qu'elles sont en d'autre Mains, et en ce Cas il faut hater Sermens et homages tant ici qu'en prusse et surtout en Silesie. Si j'avois la fatalite d'etre pris prissonier par L'Enemy, je Defend qu'on Aye le Moindre egard pour ma perssonne ni qu'on fasse La Moindre reflextion sur ce que je pourois ecrire de Ma Detention, Si pareil Malheur m'arivoit je Veux me Sacriffier pour L'Etat et il faut qu'on obeisse a Mon frere le quel ainsi que tout Mes Ministres et Generaux me reponderont de leur Tette qu'on offrira ni province ni ransson pour moy et que lon Continuera la Guerre en poussant Ses avantages tout Come si je n'avais jamais exsiste dans le Monde. J'espere et je dois Croire que Vous Conte finc n'aurez pas bessoin de faire usage de Cette Instruction mais en cas de Malheur je Vous autorisse a L'Employer, et Marque que C'est apres Une Mure et saine Deliberation Ma ferme et Constante Volonte je le Signe de Ma Main et la Muni de mon Cachet"FEDERIC R."[Fac simile of Autograph (Berlin, 24th January, 1854), where is some indistinct History of the Document. Printed also in <italic>
OEuvres, <end italic> xxv. 319-323.]
These, privately made law in this manner, are Friedrich's fixed feelings and resolutions;--how fixed is now farther apparent by a fact which was then still more private, guessable long afterwards only by one or two, and never clearly known so long as Friedrich lived: the fact that he had (now most probably, though the date is not known) provided poison for himself, and constantly wore it about his person through this War. "Five or six small pills, in a small glass tube, with a bit of ribbon to it:" that stern relic lay, in a worn condition, in some drawer of Friedrich's, after Friedrich was gone. [Preuss, ii. 175, 315 n.] For the Facts are peremptory; and a man that will deal with them must be equally so.
Two days after this Finck missive, Friday, 12th, Friedrich took farewell at Berlin, drove to Potsdam that night with his Brother, to Dresden next day. Adieu, Madam; Adieu, O Mother! said the King, in royal terms, but with a heart altogether human. "May God above bless you, my Son!" the old Lady would reply:--and the Two had seen one another for the last time; Mother and Son were to meet no more in this world.